Circuit n°2 bis dans Paris : 2e arrondissement - Réaumur
Nous sommes bien conscients que pour certains, ce thème iconographique des caducées peut devenir monotone au bout de quelques diaporamas visualisés.
Afin de rompre un peu cette uniformité, nous vous proposons des jeux de piste à travers les arrondissements parisiens.
Vous allez pouvoir, in situ, retrouver les caducées. Ces symboles sont uniquement, dans ce cas, l’anecdote afin de vous faire découvrir les bâtiments de notre belle capitale, une autre vision de Paris!
Ce JDP est le plus simple de tous car il ne concerne qu’une rue.
Amusez-vous mais observez également, admirez et méditez cette citation de Kant : « L’Art ne veut pas la représentation d’une chose belle mais la belle représentation d’une chose ».
Jeu sous la forme d'un jeu de piste.
Nous vous fournissons les adresses où des caducées ont été identifiés dans la capitale française. A l’aide d’un plan organisez votre parcours « in situ ».
Une fois, vos photos réalisées sur place à Paris et mises dans l’ordre que vous aurez défini auparavant, vérifiez dans les rubriques des arrondissements (les diaporamas) si cela correspond à vos résultats.
Si vous ne vous sentez pas encore prêts à l’observation poussée ou si vous souhaitez jouer avec vos enfants, vous trouverez (à la suite des adresses) les photos des caducées concernés et rangés de façon aléatoire.
Continuons logiquement avec le 2e arrondissement, rue Réaumur. Il vous suffira d’un peu d’observation au début. A force d’attention, vous serez de plus en plus aptes à trouver rapidement des caducées par vous-mêmes. Il peut y avoir plusieurs photos pour une même adresse.
– 130 rue Réaumur – 3 rue Léon Cladel. Immeuble d’angle à rotonde de type commercial élevé en 1898 par l’architecte Charles de Montarnal. Ossature métallique, habillage pierre, rotonde couverte d’un dôme en attique.
– 92-82, rue Réaumur. Immeuble commercial. 92 rue Réaumur, angle rue Dussoubs.
– 51 rue Réaumur. Immeuble d’activités, 1910 par l’architecte Charles-Henri Le Maresquier.
Encadré par le boulevard Sébastopol et la rue de Palestro. Style néo-baroque. Ancien magasin Felix Potin, de nos jours Monoprix. Côté rue Palestro.
– Angle de la rue Réaumur au 134 et de la rue Notre-Dame des Victoires. Immeuble construit en pierre de taille par l’architecte Jacques Hermant en 1899-1900. Immeuble primé au concours des façades de la ville de Paris. Traitement monumental avec une tour horloge surmontée d’une lanterne.
– 119 rue Réaumur. Immeuble commercial à ossature métallique et habillage en pierre de 1900.
Germain Bousson, architecte. Immeuble primé au concours des façades de la ville de Paris. Ligne de fenêtres en plein cintre à l’attique. Mascaron en pierre représentant Hermès.
– 99-97 rue Réaumur. Immeuble commercial de 1900. Construit par Philippe Jolivald et Charles Devillard.
Deux des quatre ouvertures donnent sur la station « Sentier ». Balconnet galbé du 1er étage.
– 107 rue Réaumur – 122 rue de Montmartre.
– 61-63 rue Réaumur et angle de la rue Saint-Denis. Immeuble commercial de 1898 par les architectes : Edouard Singery et Philippe Jouannin. Le sculpteur : F-A Jacquier. Façade néogothique et horloge monumentale.
– 116 rue Réaumur – 1-3 rue du Sentier. Immeuble commercial d’angle à pan coupé, construit par l’architecte Albert Walwein en 1897-1898. Immeuble primé au concours des façades de la ville de Paris. La figure de droite est coiffée d’une façon élaborée. Aux extrémités des larges baies vitrées du 2ème niveau du soubassement, des caducées sont visibles dessous des têtes de lion et au-dessus de figures ailées. Figure casquée d’Hermès.
– 101 rue Réaumur. Immeuble d’angle à rotonde de type commercial de 1895. Angle rue de Cléry. Architecte : Albert Walwein. Immeuble primé au concours des façades de la ville de Paris.
– 89 rue Réaumur. Immeuble commercial.
– 112 rue Réaumur.
– 102 rue Réaumur.