Paris-3ème

Notre préférence : Fontaine des Arts-et-Métiers,  
square
(de 1858) Emile-Chautemps (Conseiller municipal). 

PREFACE

 Voici une suite un peu différente car la chasse au caducée n’a pas été aussi abondante au fil des rues que celle récoltée pour les travaux antérieurs . Mais le Musée Carnavalet et le musée des Archives Nationales possèdent de belles salles dont une partie du décor concerne notre thème.  

Bien entendu, certains éléments de l’arrondissement ont dû échapper à l’œil perspicace de la photographe. 
Il faut tenir compte aussi du manque de visibilité dans certains cas : 
– bâtiments en rénovation, 
– arrière-cours pas toujours accessibles,
– intérieurs privés,
– décors situés aux frontons élevés des immeubles et si peu détectables parfois même avec l’aide de jumelles. Dans le doute et par risque d’une très mauvaise qualité de l’image, je ne les ai pas toujours inclus.
– Mauvaise luminosité qui peut brouiller la vue,
– fatigue des yeux…,

Malgré un manque certain d’éléments non capturés, la majorité des caducées extérieurs figure sur ce site.

La qualité des images n’y est pas toujours optimale mais les conditions de prise non plus. De plus, afin de fournir un réel travail d’étude, de nombreux points restent encore à approfondir :

1) Déjà, réaliser le même exercice pour chacun des arrondissements de Paris. Un vrai jeu de piste !
Visiter aussi le maximum de musées et d’hôtels particuliers afin de traquer le caducée !

2) Ensuite, comparer ces caducées :
a) les définir selon leurs contextes : le milieu médical (médecine ou pharmacie) ou le Commerce (banques, ateliers ou magasins) ou les Transports. Dans ces cas, il faut également regarder, la présence concomitante ou non des caducées avec Hermès-Mercure. L’édifice a-t-il lui-même dépendu d’une activité médicale, commerciale ou de voyage ? Alors là, une recherche poussée s’impose au niveau des archives. Est-ce une représentation symbolique ou allégorique ?
b) Les définir également en fonction de la scène ou du décor dont ils dépendent, en fonction de leur importance dans le décor (principale ou secondaire), de leur situation par rapport au bâtiment, de leur situation géographique. Il s’agira de voir l’importance des éléments trouvés au sein de l’arrondissement et selon l’ensemble des arrondissements en tenant compte de l’orientation de la fonction commerciale ou médicale.

Cette page est appelée à être complétée à l’avenir, à s’étoffer. 

A TRAVERS LES RUES 

MUSEE CARNAVALET

3ème ARRONDISSEMENT 
diaporama ci-dessus

                       A TRAVERS LES RUES

         *105 rue Beaumarchais, angle rue Saint-Claude. Et côté rue Saint-Claude.
* 36 rue des Francs Bourgeois. Herboristerie-Diététique, Allopathie-Homéopathie. Magasin.
* 62 rue des Archives. Musée de la chasse et de la nature.
* 70 rue des Archives.
* 72 rue des Archives.
* 11 rue Portefoin. Architecte : H.J. Errard, 1884.
* 115 rue du Temple
* 5 place de la République, passage Vendôme. Sortie rue de Béranger.
* 50 rue de Meslay.
* 52 rue de Turbigo. Architecte : E. Cordier, 1867. Sculpteur : E. Jannin.
 * 3 rue Vaucanson, Conservatoire des Arts et Métiers.
* 54 rue de Turbigo.
* Fontaine des Arts-et-Métiers :  square (de 1858) Emile-Chautemps (Conseiller municipal). Fontaine réalisée en 1860 par Gabriel Davioud. Il s’agit d’un bassin oblong avec à chacune de ses extrémités deux scènes demi-circulaires. D’un côté : l’Agriculture et l’Industrie par Charles Gumery (1827-1871) et de l’autre côté (vers le Théâtre-Lyrique) la Musique et Mercure avec son caducée (dont il est question). Le pied de la vasque est en pierre du Jura d’où s’échappe l’eau par deux têtes de lions positionnées sur les faces opposées aux figures accroupies en bronze. Le caducée semble se mêler à des cordages. Œuvre d’Auguste-Louis-Marle Ottin (1811-1890). Square entrepris sous Napoléon III et le baron Haussmann.
* 35-37 rue Beaubourg, angle impasse Beaubourg. Architecte : Ch. Goujon, 1903.     *43 rue Beaubourg.
* 15 rue de Montmorency. Architecte : J. Boussard (1884-1885). 
* 11 rue Rambuteau. Architecte : Mr Chaise, 1891.
* Musée de Cognacq-Jay, 8 rue Elzévir, 75003 Paris.
 Anonyme. Table à écrire à la Reine, vers 1770. Chêne, sapin et marqueterie de bois divers teintés et gravés. Inv. J 371. Salon de Boucher, 3ème étage.
 Appliques, 1er étage.
– Store, 2ème étage 1. 
* 153 rue Saint-Martin.
* Hôtel de Montmor, 79 rue du Temple.
Archives Nationales, Hôtel de Soubise, 60 rue des Francs Bourgeois.
 – Escalier,
– ancienne première salle de lecture,
– S
alon du Prince,
–  Grand Cabinet.
Fontaine du Vertbois ou Fontaine Saint-Martin, territoire de l’ancien Prieuré de Saint-Martin-des-Champs, 323-325 rue Saint-Martin. Date de 1712 et déplacée en cet endroit en 1882. Style néo-classique, architecte Pierre Bullet (1639-1716). La fontaine est adossée à l’enceinte de Philippe Auguste, elle fait partie de nos jours du Conservatoire national des arts et métiers. Certains voient dans le bas-relief de cette fontaine « la concentration de l’eau mercurielle » (Josane Charpentier, la France des lieux et des demeures alchimiques, Paris, 1980, rééd., Paris, 2019.
Musée des arts et métiers60 rue Réaumur, 3ème.
– Balance d’essai, fin XVIIIe, inv. 8084, 2ème étage.
– Pendule à double cadran annulaire tournant, par Jean-André Le Paute , vers 1770. Inv. 6852, 2ème étage.
– Horloge de la Forêt noire à orgue et automates, mécanique et le vivant., vers 1775, inv. 20437, 1er étage.
– Pendule avec orgue par Tavernier, 1790, inv. 10633, mécanique et le vivant, les automates, 1er étage.
– Escalier, 1er étage, avec l’avion III de Clément Ader.
*  Musée-National Picasso-¨Paris, 5 rue de Thorigny, 3ème.
* 37-39 rue du temple : balcon au-dessus du Bouillon qui remplace la brasserie Jenny. 
* Entre le 39 et le 41 rue de Turenne :   fontaine.                                                            * 51 rue de Montmorency. Maison de Nicolas Flamel (1330-1418) et de sa femme Pernelle. Ou maison au grand Pignon construite début du XVe siècle. Nicolas était un copiste et un écrivain public qui a évolué vers le commerce. Selon un mythe, il était alchimiste.

 

Enfant sur un dauphin tenant caducée et trident.

MUSEE CARNAVALET – diaporama ci-dessus

Musée Carnavalet : 23, rue de Sévigné, 3ème arrondissement.

Sous-sol

Salle S.05, Mercure du 2ème siècle, alliage cuivreux, AM702. Statuette pour petits autels domestiques. Statuette découverte en 1867 dans le jardin du Luxembourg avec 66 pièces de monnaie. Mercure est nu, il tient une bourse remplie de pièces et possède 2 petites ailes sur la tête, il devait y avoir un caducée au niveau de la main gauche.
Salle S.05. Stèle de Mercure, calcaire du 1er-2e siècles. Fouilles de l’Hôtel-Dieu (1867- AP39). Le dieu porte le pétase et tient une bourse et un caducée.
Salle S.05Rosemerta, déesse de l’Abondance, est associée à Mercure. Elle tient un caducée et une corbeille de fruits. Mercure devait tenir une bourse, un pétase et des sandales ailées. Il est en compagnie d’un bouc, animal gaulois par excellence. Les 2 statues devaient être appuyées sur un mur mais se regardaient. Ces 2 personnages sont chez les gaulois souvent associés et ils étaient très présents à Lutèce.
Salle S.05. Pilier des Nautes. Maquette en plâtre conçue vers 1960. Le pilier (découvert sous Notre-Dame) devait mesurer dans les 5,24 mètres et date du 2e siècle. 5 blocs sont conservés au musée de Cluny.
Salle 0.04. Plaque de cheminée.

Extérieur

– Côté cour de la Victoire.
– Côté ancienne cour avec l’arc de Nazareth et la façade des drapiers.

RDC

Salle 0.02. Galerie des Enseignes. Collection des maisons de Commerce de Paris les mieux décorées. Boutique de Mr Marais, Herboriste, 12, rue neuve Egalité (actuelle rue d’Aboukir, 2eme arrondissement). Eau-forte coloriée, pl 14, G14122. Boutique de 1806 à 1807, extraite d’un service de planches éditées entre 1806 et 1828 (Jean-Marie Mixelle (1758 ? – 1839), Pierre Antoine Leboux de la Mésangère (1761-1831) : éditeurs).
Salle 0.03Armoiries de la ville de Paris d’après les lettres patentes de Napoléon 1er, 29 janvier 1811. Isis trône à la proue de la nef. Gueules (rouge), 3 abeilles d’or vues de dos, la tête vers le chef, les pattes étendues.
Salle 0.03Porte principale de l’Hôtel de ville de Paris. Vantail gauche complet et vantail droit incomplet. Maître menuisier ordinaire de la ville de Paris : Guillaume Grouart ; sculpteur ordinaire du roi (1653) : Henri Perlan (1597-1656).
Vantail : chêne, bronze, traces de rehauts d’or. Ancien fonds (acquisition après 1871) – BO110, S3039 bis.

1er étage

Décor du salon de compagnie de l’hôtel d’Uzès construit en 1768 par Claude Nicolas Ledoux (1736-1806), 1er étage (nouvel emplacement en juin 2021 après réouverture suite aux travaux). Hôtel réalisé pour François-Emmanuel de Crussol, duc d’Uzès. Pièce de lambris de hauteur avec les attributs de la guerre et des arts accrochés à des troncs d’arbres. Sculptures des portes et des panneaux du comtois J.B Boiston d’après des maquettes de Joseph Métivier.
Salle 1.03Pot à Pharmacie. Seconde moitié du XVIIIe siècle.
Salle 1.05Le Roman des chevaliers de la gloire, grand carrousel donné place Royale les 5, 6 et 7 Avril 1612 à l’occasion des fiançailles de Louis XIII avec l’infante Anne d’Autriche et d’Elisabeth de France, sœur du roi, avec l’infant Philippe d’Espagne. Huile sur bois vers 1612. Achat en 1888 – P661.
Salle 1.07Arc de triomphe dressé sur le marché neuf (île de la Cité) en 1660. Jean Marot (Paris, 1619-id. 1679), 1662. Eau-forte, extraite de l’Entrée triomphante de leurs Majestez Louis XIV, roy de France et de Navarre, et Marie Thérèse d’Autriche, son épouse, dans la ville de Paris (…), Paris, chez Pierre Le Petit, Thomas Joly et Louis Bilaine, 1662 – Achat en 1992 – G22440.
Salle 1.07Médaille : Fondation de l’Académie des inscriptions, 1663. Mercure assis à gauche, tenant d’une main un caducée et de l’autre écrivant sur une table dressée contre une colonne ; « Rerum gestarum fides » (« (Témoin) fidèle des grandes actions) ; à l’exergue : Academia reg. inscript./ et numism. Inst. » (« Etablissement de l’Académie royale des inscriptions et médailles ») ; « M.DC.LXIII » (« 1663 »). Jean Mauger (Dieppe, 1648-Paris, 1722). Fin du 17e siècle. Bronze, ND562.
Salle 1.11Les appartements de l’Hôtel La Rivière. Ils proviennent de l’Hôtel particulier de Louis Barbier, abbé de la Rivière, place Royale (ce qui correspond au 14 place des Vosges). En 1652, François Le Vau et le peintre Charles Le Brun embellissent l’hôtel.
Salle 1.11Le Palais du temps. Décor pour le prologue d’Atys, tragédie lyrique de Lully. Huile sur toile vers 1708, P – 2319 de Jacques Vigoureux Duplessis (1680-Paris, 1732).
Les appartements de l’Hôtel La Rivière. Ils proviennent de l’Hôtel particulier de Louis Barbier, abbé de la Rivière, place Royale (ce qui correspond au 14 place des Vosges). En 1652, François Le Vau et le peintre Charles Le Brun embellissent l’hôtel.
Salle 1.12. Plafond de l’Hôtel La Rivière (situé place des Vosges). Mercure présente Psyché à Cupidon (son futur mari). Psyché porte une coupe d’ambroisie qui procure l’immortalité. Décor de Charles Le Brun (1652-1655).  Les appartements de l’Hôtel La Rivière proviennent de l’Hôtel particulier de Louis Barbier, abbé de la Rivière. En 1652, François Le Vau et le peintre Charles Le Brun embellissent l’hôtel.
Salle 1.13. Salle de Madame de Sévigné. Plaque de cheminée en fonte. Ancien fonds – MB858, MB864 (1-2).
Salle 1.17Plaque de cheminée.
Façade de la maison et du bureau des marchands, vers 1889. Eau-forte (reproduction réduite), G52973, galerie de Choiseul.
Salle 1.36Place Louis-XV. La place Louis-XV et les Champs-Elysées vus du pont tournant des Tuileries (permettant de franchir le fossé entre le jardin et la place). Huile sur toile, 1775-1785.
Salle 1.48. Boiserie d’un salon de l’Hôtel Brûlant de Sillery construit en 1658 (angle du 13, quai de Conti et du 2, impasse de Conti), BO97. Chêne sculpté. Boiseries peintes au XVIIIe siècle.
Escalier du 1er avec vue sur la cour d’honneur.

2ème étage

Salle 2.51Monument allégorique à la gloire de Necker. Barthélémy Verboeckhoven, dit Fickaert (Bruxelles, Belgique, 1759-1840). Terre cuite polychrome, 1789. Achat en 1935 – S1766.
Salle 2.51La charge de cavalerie du prince de Lambesc dans le jardin des Tuileries, le 12 juillet 1789. Jean-Baptiste Lallemand (Dijon, 1716 – Paris, 1803). Huile sur toile, 1789. Achat en 1884 – P193.
Salle 2.53Scène de la fête de la Fédération. D’après Jean-Baptiste Huet (Paris, 1745-id., 1811). Vers 1790. Manufacture d’Oberkampf, Jouy-en-Josas. Impressions à la plaque de cuivre sur coton. Don d’Alfred de Liesville en 1881-G35421, G52889, G52890, G52891, G52892. Toile de Jouy.
Salle 2.55La Fête de l’Unité et de la Réunion sur la place de la Révolution (23 thermidor an 1/10 août 1793). Pierre-Antoine Demachy (Paris, 1723-id. 1807). Huile sur toile vers 1793. Achat en 1887 – P82.
Salle 2.55Tables des droits de l’homme et Tables de l’acte constitutionnel. Daguet fabricants, boulevard du Temple, 1793. Papier imprimé. Ancien fonds-OM531 (1-2).
Salle 2.5618 fructidor – an V de la République française. Augustin Dupré (Saint-Etienne, 1748-Armentières-en-Brie, 1833). Maquette en plâtre de 1797. Ancien fonds (acquisition entre 1866 et 1871) – S1938.
Salle 2.56Glaive officiel de général en chef, modèle ordinaire pour le costume de Directeur. Vers 1799. Lame en acier, plate, à deux gouttières, damas frisé, bleuie et dorée au tiers ; pommeau en cuivre doré ; fusée en ébène mocassin, sur la face principale, motif de cuivre doré ; garde en cuivre doré ; fourreau avec armature en cuivre doré, partie médiane en cuir. Ancien fonds – OM472.
Salle 2.56Glaive de Directeur, modèle officiel. Inscription : « Peuple/français//unité//Pour/le salut/de la/Patrie//Pour/ramener/la paix ». Vers 1799. Lame en acier, plate à deux tranchants, inscription gravée et dorée ; pommeau en cuivre doré, tréflé, à motif ciselé ; fusée en cuivre doré et ciselé, garde en cuivre doré, à croisière terminée par deux quillons tréflés portant sur une inscription gravée. Armature du fourreau en cuivre doré et velours brodé de fils d’argent ; baudrier en velours incarnat brodé d’argent. Achat en 1888 – OM504 (1).
2.56La Confiance relève le Commerce. Augustin Dupré (Saint-Etienne, 1748-Armentières-en-Brie, 1833), 1796. Terre cuite. Don d’Alfred de Liesville en 1881-S484, S1959. Maquettes du droit et, du revers d’une médaille, non réalisée, destinée à la Caisse des Comptes courants, banque d’escompte privée fondée le 29 juin 1796 à Paris.
Salle 2.56L’exposition des produits de l’industrie française (septembre-octobre 1798). Benjamin Duvivier (Paris, 1730-id., 1819), 1798. Cuivre. Don de Marc Fabre de Larche en 1899-ND2575.
Salle 2.58Portrait de Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord en habit de grand Chambellan. Pierre-Paul Prud’hon (Cluny, 1758 – Paris, 1823). Huile sur toile, 1807. Achat par la ville de Paris en 1862, entrée au musée Carnavalet en 1911-P1065.
Salle 2.58Médaille donnée à Jean-Jacques Berger (1790-1859), maire du 2e arrondissement, à l’occasion de l’épidémie de choléra, 1832. La ville de Paris tenant un mourant qui donne la main gauche à Esculape ; au-dessus, un monstre ailé ; « Générosité/Dévouement » ; à l’exergue : « 1832 ». Ursin Jules Vatinelle (Paris, 1798-id., 1881). Bronze, 1832, ND4502.
Salle 2.58La Place de la Concorde, vue de la terrasse du bord de l’eau. Le roi Louis-Philippe traverse la place en voiture. Jean-Charles Geslin (Paris, 1614-id, 1887), 1846. Achat par la ville de Paris en 1888, entrée au musée Carnavalet en 1889, PI22.

Réserve

Pierre-Paul Sevin (1646-1710), plume et encre brune, gouache, rehauts d’or, d’argent et de gomme arabique sur traits de crayon sur velin, inv. D8555, 1683. Décor funèbre qui se fait tous les ans en service solennel à la mémoire de défunt S.A.S. Monseigneur Henry de Bourbon, premier Prince du sang dans l’église des R.P. Jésuites de Saint-Louis.
Claude-Louis Desrais (1746-1816), allégorie révolutionnaire : la lanterne magique, vers 1790. Plume, encre noire, lavis gris, rehauts de gouache blanche sur traits de crayon sur papier. Fonds ancien inv. D4771.
Minerve montre aux despotes des autres nations le sage exemple de la France, forte de nouveaux droits acquis pour les citoyens dissipant les troubles et les chimères.
Enfant sur un dauphin tenant caducée et trident. Allégorie de la Navigation et du Commerce. Divinité fluviale coiffée d’une couronne de roseaux qui indique un point. Tirage sur papier salée, Paris. Photographe : Le Gray, Gustave (Villiers-Le-Bel, 1820 – Le Caire, 1884). N° : PH10232-22. Photographies, Arts graphiques.
Photographie d’une partie des peintures murales d’Henri Lehmann de la Galerie des Fêtes de l’Hôtel de ville (4ème arrondissement).
« Grand dîner parisien ». Estampe de Jean Gauchard (dessinateur-lithographe, graveur), gravure (54543), 1870-1871, musée Carnavalet. La Ville de Paris durant la commune pendant la guerre franco-prussienne, deux gerbes de laurier et sûrement l’enceinte de Thiers autour de Paris en couronne. Serpent qui crache son venin contre les ennemis ?

Laisser un commentaire